Le Monde des Pyrénées

Les Vautours pyrénéens et les écologistes

Le milieu écolo environnementaliste n'est pas à une contradiction près pour satisfaire son idéologie sectaire au détriment de la vérité. Contradiction ou mensonge propagandiste? La frontière est mince. Le fait est qu'en matière de vautours fauves et de prédations de ceux-ci, la LPO et autres associations écologistes aux idées toutes faites de leurs certitudes et arrogances ont tout faux comme en témoigne un communiqué de la Préfecture des Pyrénées-Atlantiques repris par la suite par celle des Hautes-Pyrénées. Par ailleurs Michel Terrasse n'a aucune pudeur à ce contredire sur Europe 1.

- Attention à l'information à sensation sur les vautours

Chaque année, la question des "attaques" de vautours ressurgit. Hier, quelques médias locaux et nationaux ont repris une information extrêmement accusatrice sans véritable travail d'investigation. La LPO demande un droit de réponse pour expliquer la réalité de la situation des vautours en France.

Un certain nombre de journaux, de radios et une télévision ont publié hier, sans contacter les organismes responsables de la protection des vautours en France (parc national des Pyrénées, LPO, etc.), des titres comme "Les vautours attaquent le Pays basque", sans aucune analyse de la situation ou investigation poussée concernant les faits. Ces informations, livrées brutes et sans recul au grand public, sont dévastatrices pour tout l'effort de conservation de cette espèce rare et menacée mené en France et en Europe depuis plus de trente ans.

Or en Espagne, (Navarre et Gipuzkoa), où les mêmes évènements ont été rapportés, on constate que dans 90% des cas, les vautours étaient accusés bien trop vite. Dans seulement 10% des cas annoncés, il y avait effectivement eu un dégât sur le bétail mais il s'agissait de cas précis et isolés de bêtes laissées seules en difficulté (malades, coincées ou lors de mises bas difficiles). En effet, la majorité des témoignages fait par les éleveurs concerne des cas de mortalités constatés avec des vautours présents mais les attaques ne sont pas observées directement.
Il existe presque toujours un doute sur ce qu'il s'est réellement passé, en particulier lors des mises bas, même si les éleveurs sont de bonne foi et si leur douleur doit être prise en compte.
La présence de vautours, toujours impressionnante visuellement, est la première chose qui saute aux yeux et les vautours sont systématiquement incriminés. L'imaginaire collectif négatif autour de cet animal a tôt fait de ressurgir, et il est accusé systématiquement de tous les méfaits, comme par le passé.

Ce qu'on dit moins, parce que c'est moins sensationnel, c'est que les vautours génèrent des centaines de milliers d'euros d'économie dans les Pyrénées-Atlantiques (64) tant sur le plan touristique qu'en jouant le rôle d'équarrisseur naturel (700 000 brebis en extensif dans le département) et donc en nettoyant les montagnes et les collines des carcasses qui sinon poseraient un réel problème sanitaire pour les populations humaines. Et que dire de l'économie de CO² réalisé par l'équarrissage naturel et gratuit effectué par les vautours, en évitant le transport par camion et le brûlage des carcasses en usine?

A l'heure actuelle, tous les cas sont enregistrés par l'Observatoire des dommages au bétail à la suite des constats réalisés par des gardes. Or les cas dénoncés ne sont pas encore analysés et il n'est donc pas possible de déterminer la part de cas certains, incertains ou douteux concernant ces témoignages. En 2005 et 2006, une trentaine de cas par an au total a été dénoncé. Mais combien d'entre eux concernent un réel accident, puisqu'en Espagne seul 1 cas sur 10 s'avère réel?

Enfin, il faut noter un fait très important: les assurances agricoles ne remboursent pas les mortalités par retournement de matrice (mise bas se passant mal, avec retournement de l'utérus à l'extérieur du corps) lors de la mise bas, alors qu'il s'agit de la première cause de mortalité des vaches. Et c'est essentiellement dans ces cas que des accusations contre les vautours sont portées. Or ce retournement peut intervenir jusqu'à une semaine après la mise bas! Lorsqu'il advient, un éleveur peut ou non sauver sa vache, s'il arrive avant les vautours. Dans la plupart des cas, les vaches ne sont pas surveillées: les vautours sont alors découverts sur la vache et accusés de l'avoir tuée, alors qu'elle a pu mourir d'un retournement de matrice.

La LPO demande à ce qu'un vrai travail d'investigation soit fait avant d'annoncer de telles informations, dont les conséquences sont dramatiques.

Communiqué de presse de la LPO du mardi 15 mai 2007

- Commentaires

Le problème n'est pas nouveau puisqu'un observatoire a été mis en place avec l'IPHB en 2005. Mais le sujet dérange le milieu écologiste dont, une fois encore, le seul objectif soit le mensonge en vue de dénigrer et faire disparaître le pastoralisme pyrénéen.

De plus, ce communiqué ne semble pas très cohérent avec les propos tenus par Michel Terrasse, Vice-Président de la LPO, il y a un an.

Par ailleurs, ce communiqué est d'une approximation déconcertante.
La problématique soulevée aujourd'hui concerne des bovins, au pire des équidés. Or la LPO parle d'ovins. Mais quant à parler d'ovins, donnons des chiffres justes. Il n'y a pas "700.000 brebis en extensif dans le département" des Pyrénées-Atlantiques comme l'affirme la LPO mais environ, en période estivale, 500.000 brebis dont 350.000 en transhumance. Ce qui est assez différent et signifie qu'aujourd'hui il y a environ 150 000 brebis sur place qui ne sont pas toutes en estive mais le plus souvent parquées à proximité des fermes.
Doit-on voir dans ces propos de la LPO, de la mauvaise foi, de la propagande mensongère, le développement d'une doctrine sectaire comme nous l'avons vu avec d'autres pour l'ours ou bien un manque d'informations ou une précipitation médiatique à se manifester pour se faire voir et exister?
Ce ne sont que des questions. A chacun d'y trouver une réponse.

Si l'équarrissage naturel participe incontestablement au maintien de la biodiversité, encore fait-il remplir plusieurs conditions pour que la théorie et la littérature soient une réalité. Parmi ces conditions citons:

Sans les respect de ces conditions, il y a fort à parier que nous allons vers le conflit entre 2 parties: celle du terrain et celle des théoriciens écologistes dont on ne peut pas nier le caractère idéologique et sectaire de certains d'entre eux qui ne conduira qu'à créer des conditions défavorables aux vautours.

A suivre.... mais difficile de prendre les propos de la LPO au sérieux. Leur sectarisme éidéologique et surtout leur grand bésoin de médiatisation semble les aveugler.... ce n'est pas nouveau.

Louis Dollo, le 16 mai 2007

- "Nous payons en France un changement de réglementation espagnol"

La réalité actuelle de la situation en France est qu'il y a eu cet hiver davantage de vautours sur le versant français des Pyrénées, car les vautours espagnols meurent de faim depuis que l'Espagne a changé brutalement de réglementation sanitaire, en particulier en Aragon où toutes les carcasses sont collectées par une entreprise qui les soustrait aux vautours. A noter que cette entreprise effectue un service... payant (et, pour préciser, le directeur de cette entreprise est aussi le conseiller de l'environnement en Aragon!). Mais la situation espagnole devrait évoluer dans le bon sens car éleveurs et amis des vautours se sont alliés contre les administrations afin que les normes sanitaires récentes soient assouplies en faveur des rapaces (dont certaines espèces très menacées). En attendant que l'Espagne ait réglé le problème, la LPO recommande en effet qu'un effort de surveillance soit fait, en particulier sur les mises bas. Il faut savoir qu'il n'y a que 580 couples de vautours dans toutes les Pyrénées françaises, et plus de 5.000 dans les Pyrénées espagnoles. L'état de santé de la population espagnole influe donc beaucoup sur les évènements qui se produisent en France."

Source: Communiqué de la LPO du 15 mai 2007

- Plus charognards que des vautours!

La Convention Vie et Nature pour une Ecologie Radicale dénonce la basse manoeuvre des lobbies antinature et de journalistes en mal de sensationnel qui cherchent à effrayer les bonnes gens par des histoires de vautours dévorant des vaches en bonne santé, victimes de ces féroces et cruels prédateurs.

L'information complaisamment reprise n'a pas même été vérifiée, car il ne suffit pas de voir des vautours occupés à nettoyer un cadavre de bovidé pour en conclure que ces oiseaux ont été la cause de la mort d'une vache.
Il advient fréquemment que des vaches meurent en mettant bas, s'accidentent en montagne, tombent malades et alors il se peut que les vautours profitant de l'aubaine, se nourrissent de l'animal mort, voire hâtent le trépas en attaquant une bête vulnérable.
Mais, pour certains ennemis de la terre, il faut alimenter la peur de la Nature, des loups, des ours, des rapaces, des reptiles, comme il faut passer sous silence les dizaines de morts humaines provoquées par la chasse, chaque année en ce pays, sans parler des millions d'animaux tués par et pour l'homme,pas toujours dans des conditions dénuées de cruauté.
L'affaire des vautours des Pyrénées atlantiques évoque cette réflexion de Bernard SHAW: "Lorsqu'un homme tue un tigre, c'est un exploit. Lorsqu'un tigre tue un homme, c'est une catastrophe. Pourquoi?".

Dans cette Europe aseptisée, vouée au productivisme, à a rentabilité, à l'artificialisation anthropique, les vautours ne trouvent plus suffisamment de cadavres d'animaux pour se nourrir dans les montagnes.
Il advient qu'ils attaquent des animaux d'élevage affaiblis, malades, blessés.
La réponse à ce problème ne passe pas par l'excitation des peurs obscurantistes mais par une réforme de la règlementation, afin d'inciter les éleveurs à laisser les cadavres de moutons, de chèvres et de vaches, dans les zones très isolées et fréquentées par des rapaces, fossoyeurs naturels.
Les vautours espagnols ont été privés de ce nourrissage par des normes sanitaires récentes qu'il conviendrait de réexaminer.
Quant aux ennemis de la terre, aux arriérés qui ont peur des prédateurs, des rapaces, des renards et des belettes "buveuses de sang", des chouettes qui portent malheur et des écologistes qui relâchent des vipères par hélicoptères, qu'ils se consolent puisque la rupture arrive et que les fusillots, les agrochimistes et les bétonneurs auront tôt fait de venir à bout de ce qui persiste de biodiversité.
Le désert sera propre!
Gérard Charollois
Président de la Vie et Nature pour une Ecologie Radicale.

- Commentaire

Réaction de la Ligue ROC

Le message a été transmis sur la liste "Revue de Presse" avec ce titre: "Un message de Gérard Charollois, fondateur du ROC"
D'où la réaction de la Vice Présidente de la Ligue ROC:

Je reçois toujours les infos avec intérêt mais que signifie dans le titre, l'ajout de l'expression: "fondateur du ROC" sans qu'il y ait le moindre rapport avec le contenu de la lettre émanant du président de la CVN.
S'il s'agit de l'association R.O.C née en 1976 à Paris, la personne citée ne fut nullement un membre fondateur même si elle en fut un temps administrateur au siècle dernier.
Cette précision est nécessaire pour ne pas déformer l'historique de cette structure devenue en 2001 Ligue Roc, avec de nouveaux statuts.
Cordialement

Nelly Boutinot
Vice-présidente de la Ligue ROC

Discussion:
Qu'est ce que l'écologie radicale?
Un groupuscule extrémiste qui n'a jamais rien fait en faveur de l'écologie autre que parler, écrire et engager des procédures judiciaires qui doivent constituer l'essentiel de ses recettes.
Normal pour ce président par ailleurs magistrat.

J'ai dit magistrat. Mais alors que connaît-il du vautour et de la zoologie en général? A-t-il déjà vu des vautours s'attaquer à une proie? Comme Alain Bougrain Dubourg, était-il sur les lieux pour se permettre de juger et apprécier? Aurait-il eu l'information par sa concierge ou sa femme de ménage?

Ces propos m'inspirent cette observation d'Elie Wiesel, auteur américain et Prix Nobel de la paix 1986, extrait de "Mémoire à deux voix": "Le fanatisme est aveugle, il rend sourd et aveugle. Le fanatique ne se pose pas de questions, il ne connaît pas le doute: il sait, il pense qu'il sait."

- Vautours Fauves: arrêtons le délire paranoïaque!

Quel déchaînement médiatique depuis quelques jours, autour de ce pauvre Vautour!
Télévisions, journaux, radios, c'est à qui en rajoutera le plus en sensationnel et dans le terrifiant!
En tant qu'écologistes politiques engagés également dans les associations, nous croyons de notre devoir de remettre un peu de raison dans cette paranoïa et ce bain d'angoisse.

Rappelons tout d'abord quelques réalités sur la biologie du Vautour Fauve qui est un charognard, c'est à dire un animal qui se nourrit d'animaux morts. Sa morphologie lui interdit totalement de se transformer du jour au lendemain en prédateur agressif. Il n'a absolument pas les moyens physiques de s'attaquer à un animal en bonne santé, même petit.
Cet oiseau, souvenons-en, avait disparu de nombreuses montagnes en Europe. Il y a un peu plus de trente ans, il était au bord de l'extinction dans les Pyrénées. La loi sur la protection des rapaces (1974), le travail de nombreux bénévoles et l'adhésion du monde des éleveurs à l'idée de leur sauvegarde a permis à la population pyrénéenne de se renforcer, au point qu'aujourd'hui, elle sert à la réintroduction ou au renforcement de population dans d'autres régions de France ou même d'autres pays d'Europe. Mais n'en déplaisent à ceux qui parlent déjà de régulation de l'espèce par intervention humaine, nous sommes encore bien loin d'une surpopulation. Tout se passe dans l'auto régulation en fonction de l'espace et de la nourriture: si surpopulation il y avait en fonction des opportunités de nourriture, il y aurait plus de casse chez les jeunes de l'année, moins de naissances l'année suivante. Par contre, le Vautour, nous n'aurons pas la malhonnêteté intellectuelle de le nier, peut le cas échéant être opportuniste. On peut imaginer qu'à certaines occasions, ils puisse s'approcher d'un animal malade ne remuant plus ou presque plus. Mais c'est tout. Le délire autour de l'idée d'une charge de Vautours sur une vache se tenant debout tient de l'invention ou de l'hallucination.

Certes, un grand nombre d'éleveurs Aragonais ont cessé de porter en montagne les carcasses d'animaux morts pour que les charognards se chargent du nettoyage, certes c'est regrettable et les écologistes ne peuvent que le déplorer, mais à ce jour si les Vautours étaient affamés dans notre région, les Centres de Sauvegarde de la Faune Sauvage auraient l'occasion d'en recueillir. Or, le Centre Hegalaldia, sis à Ustaritz, habitué à soigner nombre de ces oiseaux, nous assure qu'il ne s'est jamais trouvé dans ce cas de figure. Les Vautours recueillis par les soins de ses permanents sont des jeunes de l'année qui ne savent pas bien se débrouiller à la sortie du nid et qui n'arrivent plus à décoller des fonds de vallée.
Nous ne pouvons que nous étonner du fait que les "témoignages" (!) concernant ces attaques ne soient jamais accompagnés de la moindre photographie. Ceci est d'autant plus surprenant dans le cas de l'agriculteur d'Ilharre, qui s'était déjà plaint d'une pareille affaire il y a deux ans, et déjà à proximité de son habitation. Etrange----

D'ailleurs, à ce jour, aucune des plaintes n'a pu être prouvée par une image quelconque, ce qui est étonnant de la part d'éleveurs que l'on nous dépeint comme vivant dans la terreur et l'angoisse permanentes. Jamais les gardes assermentés de l'Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage ou ceux du Parc National des Pyrénées n'ont confirmé une seule des ces allégations. Loin de nous l'idée de mettre tous les éleveurs dans le même panier. Nous avons bien trop de respect pour ce métier. Mais force est de constater qu'une infime minorité d'entre eux a, elle, aussi, comme le Vautour, le sens de l'opportunisme. Sachant que les assurances ne prennent en compte les cas de mortalité que s'il y a retournement de matrice, on ne s'étonne plus de voir que c'est ce qui est reproché aux Vautours dans la majorité des plaintes. Laissons donc les gardes de l'ONCFS et ceux du Parc National faire leur travail avant de colporter par voie de presse des comptes à dormir debout.

On connaît bien le triste rôle joué par l'IPHB (Institut Patrimonial du Haut Béarn) et par le député Jean Lassalle, dans la désinformation et l'intoxication psychologique concernant le dossier de l'ours et son cinglant désaveu par Madame Ollin, ex-Ministre de l'Ecologie et du Développement Durable. Dès lors, pas de surprise devant la montée au créneau de Didier Hervé, Directeur de l'IPHB , ancien Directeur du Centre Départemental Ovin et proche de Jean Lassalle. Comment apporter un quelconque crédit aux paroles de ce Monsieur qui, au journal de France 3 Aquitaine, se prend les pieds dans le tapis et parle du Vautour Fauve comme d'un oiseau---migrateur! Les Verts s'interrogent: Après la faillite honteuse du dossier ours, l'IPHB n'est-il pas en train de tenter de redorer son image et de sauvegarder quelques postes honorifiques et grassement payés en trouvant un autre bouc-émissaire, le Vautour Fauve? Ne s'agit-il pas là également, d'une enième tentative de "doubler" le Parc National dans une lutte de pouvoir mortifère pour la nature comme pour le monde paysan?

Alors que tous les politiques se rangent derrière leurs leaders qui ont signé le Pacte Ecologique de Nicolas Hulot pour la sauvegarde de la biodiversité, donc pour la survie de l'être humain sur cette planète, nous constatons encore une fois que ces signatures n'étaient que mascarade, bouffonnerie et que, comme le dit la sagesse populaire "Les promesses n'engagent que ceux qui y croient"

Par ailleurs, avant la prise de parole de Monsieur Hervé, dans le même journal télévisé, toute l'Aquitaine a pu assister à un reportage où l'on parlait du Vautour Fauve sur des images vraisemblablement déjà anciennes, qui montraient ---des Percnoptères, une espèce de Vautours bien plus petits que les Fauves, bien moins populeuse et dont la survie est très loin d'être assurée.

Enfin, nous estimons que cette question doit être abordée en la débarrassant de la lourde charge émotionnelle qui existe dans nos sociétés envers les charognards et les grands prédateurs ainsi que des intérêts bassement politiciens de ceux qui n'hésitent pas à l'utiliser à leur profit.

Répétons que le rôle sanitaire des Vautours est primordial dans nos montagnes où se pratique l'agropastoralisme, un merveilleux exemple d'entraide entre l'éleveur et le charognard. Et rendons un hommage appuyé aux bergers et aux éleveurs qui l'ont compris depuis longtemps et considèrent ces oiseaux comme leurs auxiliaires.

Les Verts du Béarn et Les Verts du Pays Basque.
Communiqué du 18 Mai 2007

- Commentaire

L'extrémisme sectaire fait son oeuvre de mensonge et de manipulation. Sans jamais rien savoir, sans connaitre la situation sans venir sur les lieux, ces organisations toujours à la pointe de l'information se permettent de revisiter les observations, interpréter tous propos et donner des avis sur tout.

Comportement de clowns politico-écologistes qui n'iont d'écologie que le nom car ces personnes n'apportent jamais rien à l'environnement et surtout pas à sa protection.

Louis Dollo, le 20 mai 2007

- Communiqué d'écologie radicale

Notre prise de position sur le scandale de l'exploitation émotionnelle d'une information invérifiée accusant les vautours dans la mort d'une vache, nous a valu quelques réactions d'ennemis de la Terre.
Ils utilisent très habituellement le moindre incident pour discréditer non pas les écologistes mais la Nature, la faune, les animaux.
Les médias se font complices de ces désinformations visant à diaboliser les "bêtes" et à tendre à l'aseptisation du milieu naturel.
Nous difusons ci-dessous un communiqué de soutien des Verts du Bearn.

G. Charollois - Ecologie Radicale

- Commentaire

"Information invérifiée", Monsieur Charollois est un spécialiste puisque, non seulement il ne peut pas voir mais ni lui ni personne ne sont organisation ne viennent vérifier l'information.

Par contre ce monsieur, magistrat de son état se permet de juger sans preuve.

Curieux que la justice continue à employer un tel personnage.

Louis Dollo, le 10 juin 2007