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Jean-Luc Valérie est écrivain. Passionné de loups, il habite les Vosges où Canis Lupus ne fait pas l’unanimité comme partout ailleurs en France. Comme tous les passionnés de grands prédateurs carnivores, il se dit: "Amoureux de la nature". Mais de quelle nature parle-t-on?

Militant écologiste, il épouse les idées de quelques associations défendant la présence du loup dans un espace «sauvage». Par naïveté ou idéalisme, peut-être par conviction en tout cas pas par humanisme, il participe à la diffusion de l’idéologie de l’écologie profonde où l’homme est un intrus sur la planète contrairement à la bête sauvage et la nature sauvage qui, dans la hiérarchie de la vie occupent une place supérieure.

Jean-Luc Valérie est l'auteur - photographe d'un premier ouvrage intitulé: "L'eau de mes terres, milieux humides de Lorraine". Pour cet ouvrage, il a reçu le Prix Erckmann Chatrian 2009 et le Prix Spécial du Jury 2009, au salon du livre de Fontenoy-la-Joute ( le village du livre).

En 2011, il écrit également "Le retour du loup en Lorraine". Ce livre a fait l'objet de nombreux articles dans la presse régionale et d'une interview suivie d'un débat sur Vosges-Télévision.

Début 2012, il sort "Histoire naturelle de Lorraine" où il évoque «ce que la nature offre encore de sauvage, sous forme d'histoires vécues par les acteurs volontaires du vivant».

Le prochain ouvrage à sortir devrait être "Folle histoire Lorraine du Fond du Pré".

En plus d’écrire, il propose des conférences:

Ces conférences offrent une vision très personnelle, au réalisme controversé, du "retour" du loup..... A moins que ce ne soit une introductions de loups

Une fois encore, pendant que des éleveurs souffrent de la présence de ce prédateur, d’autres en font un fonds de commerce comme l’avaient initié pour l’ours les fondateurs d’ARTUS (Ex-Férus). A chacun d’apprécier

Prise de position

Après cette introduction de Baudouin de Menten sur la Buvette des Alpages toujours aussi fantaisiste, nous reproduisons l’intégralité de la cogitation de l’écrivain Jean-Luc Valérie contre "La fin du mythe" de Lynda Brook. Sa communication n'est qu'une vision sans aucun intérêt scientifique, bien sûr, qui ne fait aucun apport à l'argumentaire de Lynda Brook basé uniquement sur des communications scientifiques référencées. Les apports de Jean-Luc Valérie, sans aucune référence sérieuse vont souvent à l'encontre des meilleurs spécialistes mondiaux. Pire, il nie certains faits et se base sur des fausses traductions en français dénoncées par Lynda Brook et auxquelles il ne fait aucune allusion. Ce positionnement confirme que Jean-Luc Valérie est avant tout un militant qui préfére s'arrêter à des slogans qu'à une analyse de la situation au fond. Aller jusqu'à nier des attaques constatées sur chevaux pose problème sur la valeur de ses appréciations.