L’accroissement des prédations, le mécontentement grandissant des éleveurs, bergers, élus locaux et syndicats imposaient une révision profonde des conditions de «destruction des loups» c’est-à-dire de la régulation et des tirs par plusieurs acteurs. Nous aurions pu imaginer une solution simple pour être efficace. Malheureusement, le Ministère de l’écologie nous propose une véritable usine à gaz qui sera probablement un élément retardateur à toutes initiatives de tire pour réaliser le quota maximum de 36 loups sans parler de graves ommissions.