Depuis de nombreuses années, les pouvoirs publics et les associations de défense du loup nous expliquent que le loup est craintif et ne s’attaque pas plus aux humains vivants qu’aux cadavres d'humains. Les faits récents, notamment en Russie, semblent bien nous montrer le contraire. Une fois encore, nous pourrions bien avoir la preuve qu'en France nous sommes en présence d’une manipulation pour… ne pas discréditer l’animal et favoriser son implantation et la cohabitation. Vision et objectif purement idéologique et non écologique.
Durant plus de 20 ans, les éleveurs et bergers ont été considérés comme des arriérés incapables d’évoluer, des imbéciles ou, pour les pyrénéens, des
ânes selon l’expression den l’ex-Ministre Nelly Olin au motif qu’ils refusent la présence des
grands carnivores ours et loups et qu’ils en ont peur.
Des grands penseurs, universitaires, historiens, géographes, philosophes ont expliqué à grand renfort de références intellectuelles et littéraires que la crainte et la peur du
loup, comme de l’ours, puisaient leurs origines dans les contes, la religion et les vieilles croyances. Les centaines de milliers d'Euros d'argent public ont été dépensés, via les
associations écologistes, pour la communication en faveur de la cohabitation en luttant contre ces considérations "passéistes" selon la norme écologique.
Pour les défenseurs du loup, cet animal est craintif, discret et fuit l’homme. Les faits disent le contraire. Mieux encore. Un rapport de 2002 de la
LCIE atteste de la valeur de ces risques.
Mais, curieusement, la traduction en français a été volontairement altérée en éliminant pas moins de 3 pages qui auraient été défavorables au loup. La manipulation découverte, il
n’est plus possible d’invoquer ces mensonges.
Plus récemment, en mars 2015, lors du
crash de l’A320 dans les Alpes de Haute Provence, des militants pro-loups et une institution publique se sont largement répandus pour expliquer que le loup ne mangeait pas de
cadavres. Malheureusement pour eux, un nouvel exemple nous arrive de Russie. Et ce n'est pas le seul cas
d'attaque sur humains remet, une fois de plus, tout en cause. Une personne âgée a été retrouvée morte, partiellement dévorée par des loups. Si elle est morte préalablement au
festin des grands carnivores, nous avons bien la preuve que le loup peut, comme les vautours, s’attaquer aux cadavres. Dans le cas contraire, les loups se sont attaqués à une
personne vivante. L’humain ne fait pas peur. D’autant que les loups ont opéré à proximité d’habitations.
En conclusion nous pouvons dire que, durant plus de 20 ans, nous avons vécu dans le mensonge institutionnel qui tente de poursuivre son existence pour ne pas discréditer leurs
propres institutions et des associations et pour préserver l’animal d’un rejet sociétal néanmoins existant. Il va falloir revoir le discours officiel. Il n’est plus tenable.
Auteur:
Louis Dollo, le 8 avril 2015
La bête est maintenant traquée par la police armée après que la personne âgée de 77 ans ai été trouvée dans une mare de sang.
Une retraitée mangée par un loup était à seulement 50 mètres de sa maison quand elle a été attaquée par la bête. Les restes à moitié mangés de Lima Ankudinova, 77 ans, ont été découverts dans une mare de sang par des voisins horrifiés. La femme âgée faisait son chemin dans la neige épaisse quand elle a été attaquée par l'animal, qui est maintenant traqué par la police.
Sauvage: Le loup est soupçonné d'avoir attaqué la femme après qu'elle ait succombée à une crise cardiaque
Une voisine a décrit comment elle a trouvé Mme Ankudinova avec une de ses jambes entièrement disparu et l'autre partiellement arraché.
Fedot Nekrasov, 68 ans, dit: "J’étais sorti le matin comme je le fais tous les jours pour une marche rapide quand je suis tombé sur son corps.
"Une de ses jambes avait été entièrement mangé et l’autre la moitié.
"De plus, le haut de sa tête avait disparu.
"C’était un sombre spectacle."
Une autopsie a révélé que la femme avait probablement succombé à une crise cardiaque avant d'être mangé par le loup.
Mais les habitants de Borovitsa dans le centre de la Russie, où la femme a été tuée, disent maintenant qu'ils vivent dans la crainte pour leur vie.
Natalia Nekrasova, commerçante de 56 ans, dit: "Si elle a été mangée quand elle était déjà morte, ce n’est pas aussi grave que s’il l’a tué pour la manger
"Ce qui importe, ce est qu'il a désormais un goût pour le sang humain et pourrait revenir pour plus.
"Les gens ne peuvent pas courir aussi vite que les loups et nous, en particulier les enfants autour d'ici, sont des cibles faciles."
La retraitée a été trouvée dans une mare de sang
Un porte-parole de la police a déclaré: "Nous avons parlé aux autorités locales compétentes qui ont accepté que nous prenions des mesures.
"Nous avons donc déployé des agents armés et des chasseurs pour trouver le loup et le détruire"
Version en Anglais
The beast is now being hunted by armed police after the 77 year old was found in a pool of blood
A pensioner eaten by a WOLF was just 50 metres from her home when she was savaged by the beast.
The half-eaten remains of Lima Ankudinova, 77, were discovered in a pool of blood by horrified neighbours. The elderly woman was making her way home through thick snow when
she was attacked by the animal, which is now being hunted by armed police.
One neighbour described how she found Ms Ankudinova with one of her legs entirely missing and the other one partially ripped off.
Fedot Nekrasov, 68, said: "I had gone out in the morning as I do everyday for a brisk walk when I came across her body.
"One of her legs had been entirely eaten and so had half of the other one.
"Also the top of her head was missing.
"It was a grim sight alright."
An autopsy revealed that the woman had probably died from a heart attack before being eaten by the wolf.
But residents of Borovitsa in central Russia, where the woman was killed, now say they are living in fear for their lives.
Shop owner Natalia Nekrasova, 56, said: "It doesn’t matter if it ate her when she was dead or whether it killed her and then ate her.
"What matters is that it now has a taste for human blood and could come back for more.
"People can’t run as fast as wolves and we, especially the children around here, are easy targets."
A police spokesman said: "We have spoken to the relevant local authorities who have agreed that we should take action.
"We have therefore deployed armed officers and hunters to find the wolf and destroy it."
Auteur: Laura Connor
Source: Miror du 7 avril 2015