L’agression des loups sur les humains n’est pas vraiment un comportement nouveau. Il est simplement nié depuis toujours par la propagande écologiste afin de ne pas présenter le loup de manière négative et le faire accepter à la population.
Ce phénomène connu est souvent mortel en Russie ou Etats-Unis et par le passé sur toute l’Europe. Si aujourd’hui nous en avons moins ou pas du tout c’est simplement parce qu’il y a moins de loups ou moins d’humains confrontés au loup. C’est le même phénomène avec les prédations sur animaux d’élevage pas de loups = pas de prédations et pas de prédations = pas de loups. L’équation est simple et vérifiée dans les faits.
Avec l’accroissement du nombre de loups, la raréfaction de la nourriture dans le milieu naturel, la probable habituation du loup à l’humain, les origines même de certains loups provenant, selon certains témoignages, d’élevages, rendront la situation de plus en plus délicate pour les randonneurs et bergers d’autant que le loup, animal intelligent, a compris depuis longtemps que l’homme n’était pas un danger pour lui.
Il est simplement regrettable que depuis 20 ans les gestionnaires du loup refusent d’écouter et entendre les témoignages des bergers qui sont les seuls à être en permanence confrontés à ce problème.
Louis Dollo, le 15 avril 2015
Michel Ulmer, 18 ans, a fait une rencontre des plus inattendues lors d'un séjour dans le val de Tourtemagne (VS), puisqu'il y a vu un loup. Qui s'est lancé à sa poursuite, comme il l'a raconté au site 1815.ch. [Ndr: version en allemand]
Michel est un étudiant allemand qui habite près de Stuttgart. De retour d'un voyage en Italie, il s'arrête dans le chalet de ses parents dans le Haut-Valais. Et entreprend une balade pour observer la vie sauvage en hiver.
Et c'est à cinq kilomètres d'Oberems que la rencontre a lieu. Peu après 10 heures, «j'ai vu en face de la vallée un chamois qui jaillissait des bois pour courir dans la clairière.» Le jeune homme dégaine alors son téléphone portable mais ce n'est pas le chamois qu'il va photographier. «Tout d'un coup, j'ai vu un immense animal qui ressemblait à un chien de berger. Il est sorti du bois à vive allure. J'ai vite compris qu'il s'agissait d'un loup.»
Mais le prédateur abandonne rapidement sa proie pour se diriger vers Michel Ulmer. «Là, j'ai vraiment eu peur. Je criais mais cela ne lui a pas fait beaucoup d'effet.» Le loup reste un moment à observer le jeune homme de l'autre côté de la vallée avant de repartir vers les bois pour y disparaître.
«Là je me suis senti soulagé. Tout a duré deux minutes mais j'ai eu l'impression que c'était une éternité. Je me suis inquiété lorsque j'ai vu le loup courir dans ma direction. Je n'aurais jamais pensé qu'il pouvait faire d'aussi grandes foulées.»
Selon des experts, il s'agit probablement du loup d'Agarn, toujours dans la même vallée, bien que la région abrite également une louve dénommée F14.