Le Monde des Pyrénées

Une manifestation à Paris pour l'année de l'ours dans les Pyrénées

Lorsqu'il s'agit des grands prédateurs, les associations environnementalistes engluées dans leurs mensonges et manipulations n'ont pas peur du ridicule pour défendre une cause perdue essentiellement pour maintenir leurs subventions et les quelques emplois inutiles et couteux qui en découlent.
En 2010, l'année de l'ours n'aura servi à rien. Comme tout ce qu'ils font depuis 1990, le projet d'introduction d'une ourse en Béarn en 2011 aura été un nouveau fiasco déjà dénoncé par l'Union Européenne qui a d'ailleurs cessé tous financements. Alors, une manifestation avec moins de 10 personnes sur le pont de l'Alma à Paris... Non pas en faveur de la biodiversité et le développement durable dans les Pyrénées mais en faveur de leurs subventions d'Etat.
L'argent est le nerf de la guerre dans cette affaire dont les motivations écologiques sont bien accessoires.

- 2010, année de l'ours?

A Paris, les partisans de l'ours manifestent pour réclamer une année de l'ours dans les Pyrénées
Les défenseurs de l'ours ont réclamé mercredi que 2010, Année internationale de la biodiversité, soit également proclamée l'Année de l'ours dans les Pyrénées où ils redoutent une disparition définitive.

Pour se faire entendre, les associations Ferus et Pays de l'Ours-Adet ont accroché à la mi-journée trois ours en peluche grandeur nature au côté du Zouave du pont de l'Alma, à Paris, réitérant une action déjà conduite au même endroit il y a vingt ans. Il s'agissait de témoigner précisément que "rien n'a changé ou presque", a indiqué Sandrine Andrieux Rolland, de Ferus. Entre-temps, l'ours brun des Pyrénées a été classé l'an passé "en danger critique d'exinction en France" par l'Union mondiale pour la Nature (UICN).

Au risque de raviver une guerre sans merci entre villages pro et anti-ours des Pyrénées, les associations réclament un nouveau plan de restauration de la population accompagnant des lâchers d'ours "au rythme d'un ou 2 par an".

Actuellement, une vingtaine d'individus subsistent en trois colonies dans les Pyrénées, dont deux ne comportent que des mâles "et n'ont donc aucune chance de se maintenir", insiste Ferus. La première opération de lâchers d'ours remonte à 1996-1997, avec deux femelles et un mâle. La deuxième et dernière en date, en 2006, qui portait sur quatre femelles et un mâle acquis en Slovénie, avait déclenché une véritable guerre de l'ours dans les départements concernés.

Auteur: Michel Pech
Source: France 3 Sud du 20 janvier 2010

- Lâcher d'ours à Paris

Les ours des Pyrénées, ou plus exactement leurs défenseurs, sont montés à Paris aujourd'hui.
Pour se faire entendre, les associations Ferus et Pays de l'Ours-Adet ont accroché à la mi-journée trois ours en peluche grandeur nature au côté du Zouave du pont de l'Alma, à Paris.

Les défenseurs de l'ours réclament que 2010, Année internationale de la biodiversité, soit également proclamée l'Année de l'ours dans les Pyrénées où ils redoutent une disparition définitive.

Par cette manifestation, réitérant une action déjà conduite au même endroit il y a vingt ans, il s'agissait de témoigner précisément que "rien n'a changé ou presque", a indiqué Sandrine Andrieux-Rolland, de Ferus. Entre-temps, l'ours brun des Pyrénées a été classé l'an passé "en danger critique d'exinction en France" par l'Union mondiale pour la Nature.

Au risque de raviver une guerre sans merci entre villages pro et anti-ours des Pyrénées, les associations réclament un nouveau plan de restauration de la population accompagnant des lâchers d'ours "au rythme d'un ou 2 par an".

Actuellement, une vingtaine d'individus subsistent en trois colonies dans les Pyrénées, dont deux ne comportent que des mâles "et n'ont donc aucune chance de se maintenir", insiste Ferus.

La première opération de lâchers d'ours remonte à 1996-1997, avec deux femelles et un mâle. La deuxième et dernière en date, en 2006, qui portait sur quatre femelles et un mâle acquis en Slovénie, avait déclenché une véritable guerre de l'ours dans les départements concernés.

Reportage à Paris de France 3 Sud, avec les interviews de:

Source: France 3 Aquitaine du 20 janvier 2010

- Plan ours: les associations lancent une nouvelle mobilisation à la faveur d'une action d'éclat à Paris

Manif Paris 2010

"2010, Année de l'ours!" c'est le nouveau crédo des association qui militent en faveur du plan ours. Jeudi 20 janvier, elles ont lancé un nouvel appael à la mobilisation ont réitéré une action symbolique, qui avait déjà eu lieu voilà 20 ans... à Paris au Pont de l'Alma Les associations lancent la mobilisation.

Tandis qu'en Ariège, le procureur a classé sans suite (faute de preuve et surtout de cadavre) l'affaire de l'ours prétendu mort (qui n'a cependant jamais réaparu depuis) nul doute que le combat des pro et anti reprendra sous peu.

Source: La Gazette ariégeoise du 22 janvier 2010

- Une année de l'ours réclamée dans les Pyrénées

Alors que 2010 a été décrétée Année internationale de la biodiversité par l'ONU, des associations ont réclamé qu'elle soit également l'année de l'ours brun dans les Pyrénées.

Craignant de voir cet animal emblématique disparaître définitivement des Pyrénées, des associations telles que Ferus et Pays de l'Ours-Adet, ont souhaité attirer l'attention sur la cause de l'animal en accrochant trois grands ours en peluche au pont de l'Alma à Paris. Cette même action avait déjà été conduite il y a vingt ans et les défenseurs de l'ours ont tenu à la réitérer afin de souligner que "rien n'a changé ou presque", comme l'a expliqué Sandrine Andrieux-Rolland, de Ferus.

Les ours en peluche sont accompagnés d'une banderole sur laquelle on peut lire: "2010 = Année Internationale de la Biodiversité. Et l'Ours?". Classés en danger critique d'extinction en France par l'Union mondiale pour la Nature (UICN), une vingtaine d'ours bruns sont recensés dans les Pyrénées. Ils sont répartis en trois colonies dont l'une n'est composée que de mâles qui "n'ont donc aucune chance de se maintenir" insiste Ferus.

Réclamant que 2010 soit décrétée année de l'ours brun dans les Pyrénées, les associations demandent également un nouveau plan de restauration de la population avec des lâchers d'ours "au rythme d'un ou 2 par an".

En 2006, quatre femelles et un mâle avaient ainsi été lâchés, provoquant une véritable guerre entre les villages pro et anti-ours.

Source: MaxiSciences du Vendredi 22 janvier 2010