l’Union Européenne a refusé à la généralité les aides qu’elle sollicitait afin d’introduire un ours brun dans les Pyrénées qui pourrait se substituer à l’ancien Pyros, et ainsi éviter la consanguinité puisque ce mâle est le père ou le grand père des ourses de la zone
Comme la Conseillère à l’Agriculture en a informé notre agence, l’Union Européenne a refusé à la généralité les aides qu’elle sollicitait afin d’introduire un ours brun dans les Pyrénées qui pourrait se substituer à l’ancien Pyros, et ainsi éviter la consanguinité puisque ce mêle est le père ou le grand père des ourses de la zone.
Le Ministère central de l’Agriculture avait porté le projet, sous l’acronyme Catosolife, et prévoyait d’y participer tandis que la fondation Oso Pardo voulait aussi collaborer.
Le projet, approuvé par le Conseil général d’Aran, prévoyait le transfert d’un ours dans les Pyrénées catalanes pour augmenter la variabilité génétique de la population.
Il s’agit d’une mesure considérée comme essentielle pour réduire la risque dû au fait qu’une grande partie des jeunes nés ces dernières années proviennent du même mâle, Pyros, sur
le point de devenir impropre à la reproduction vu son âge avancé, 25 ans.
Dans la pratique, la programme prévoyait une substitution génétique, simplement l’introduction d’un mâle sur le territoire de Pyros qui continuerait à vivre sur son territoire; originaire de Slovénie, c’est un des ours les plus vieux des Pyrénées, où il fut libéré en 1997.
La Unión Europea ha denegado las ayudas solicitadas por la Generalitat, a través del Ministerio de Agricultura, para introducir un oso pardo en el Pirineo que pudiera sustituir al anciano Pyros y frenar la consanguinidad ya que el macho es el padre o abuelo de las osas de la zona, según ha informado a Europa Press la Conselleria de Agricultura.
Al solicitar el proyecto en la convocatoria 2012, con el acrónimo Catosolife, el Ministerio de Agricultura preveía participar en el programa en el que también quería colaborar la Fundación Oso Pardo.
El proyecto, que tenía la aprobación del Conselh Generau d'Aran, contemplaba el traslado de un oso al Pirineo catalán para aumentar la variabilidad genética de la población.
Se trata de una medida considerada fundamental para reducir el riesgo que supone que una gran parte de las crías nacidas en los últimos años proceda de un único macho, Pyros, a punto de convertirse en inviable para la reproducción por su avanzada edad, 25 años.
En la práctica el programa contemplaba la sustitución genética, únicamente la introducción de un oso en el territorio de Pyros, macho que continuaría en la zona mientras viva; se trata de uno de los osos más viejos del Pirineo, procedente de Eslovenia, y fue liberado en 1997.
Source: Europapress.es du 25 juin 2013