Contrairement à tous les mensonges développés par les associations environnementalistes dites "écolos - pro-ours", l'IPHB (Institution Patrimoniale du Haut Béarn) n'est pas une association autocratique où le Président Jean Lassalle a tous les pouvoirs. Il s'agit d'une collectivité territoriale où chaque membre, clairement défini, a un droit de vote. C'est aussi une instance d'échange et de dialogue où tout le monde a sa place pour donner son avis. Le Président soumet des propositions au vote, celles-ci pouvant être amandées même en séance, et c'est la majorité qui décide comme dans toute assemblée de collectivité territoriale. Les réunions y sont fréquentes, publiques et la presse a, à sa disposition, les mêmes dossiers que les membres et peut avoir accès à tous documents sur simple demande. C'est ce qui distingue l'IPHB des associations écologistes et même du Parc National des Pyrénées où rien n'est public.
Nous sommes bien loin de l'image véhiculée par les écologistes dans toutes leurs publications. C'est une instance démocratique et la démocratie est une chose qui n'est pas connue dans le milieu environnementaliste écolo. Tellement peu connu qu'en 2005, lorsque la majorité des membres de l'IPHB ont voté contre les introductions d'ours en Pyrénées Centrales, les représentants du FIEP et de la SEPANSO, des acteurs importants des mensonges et manipulations dès les années 1980, ont quitté l'institution pour mieux la critiquer y compris des actions que ces associations avaient approuvées.
L'IPHB s'est donc déterminée librement en 2011 par rapport au projet d'introduction d'une ourse en Béarn (Pyrénées-Atlantiques), projet auquel l'institution n'avait jamais été associée malgrè l'obligation légale prévue dans la charte constitutionnelle de l'environnement (article 7) et divers articles du Code de l'Environnement, procédure qui, devant les juridictions administratives aurait très probablement fait annuler l'introduction béarnaise.