Monsieur le Président,
J'ai pris connaissance de votre communiqué par lequel vous préconisez le retrait de l'ourse Franska qui créée depuis son introduction forcée des dégâts considérables pour les éleveurs au niveau du massif du Pibeste et de l'Estibette.
Cette situation plus que préoccupante m'avait été signalée très tôt par le Maire de Saint-Pé-de-Bigorre, Conseiller Général, mon ami Bruno LEPORE et j'étais intervenu alors auprès de Nicolas Sarkozy, Ministre de l'Intérieur et candidat à l'Election Présidentielle pour que la demande légitime que vous formulez aujourd'hui soit prise en considération.
Le comportement de prédation de cet animal est manifestement anormal.
En conséquence je m'engage, si je suis élu, à rencontrer Alain Juppé pour lui demander le retrait immédiat de l'ourse Franska.
Vous assurant de mon soutien plein et entier et de mon souhait profond de voir revenir le calme dans nos montagnes,
Je vous prie de croire, Monsieur le Président, à l'expression de mes sentiments bien sincères et très cordiaux
Gérard Trémège
Permanences:
60 rue Maréchal Foch - 65000 Tarbes
4 route de Bagnères - 65100 Lordes
- Intervention de Gérard Trémège auprès du Préfet des Hautes-Pyrénées
Gérard Trémège Candidat aux Elections Législatives sur la 2ème circonscription des Hautes-Pyrénées | |
Monsieur Emmanuel Berthier Tarbes, le 14 juin 2007 |
Monsieur le Préfet,
Je me permets de vous adresser ce jour copie du courrier que j'envoie à Messieurs Jean-Louis Cazaubon, Président de la Chambre d'Agriculture, Christian Puyo, Président de la FDSEA 65, et Jean-Luc Cazabat, Président des Jeunes Agriculteurs, concernant leur demande de retrait de l'ourse Franska.
Les pouvoirs publics, prenant acte du comportement anormalement agressif de cet animal, ne sauraient rester sourds à la colère légitime qui gagne nos vallées et montagnes.
Les réponses ne peuvent plus être de l'ordre aujourd'hui de la seule réparation financière du préjudice.
Cela va bien au-delà.
Si je suis élu député je prendrai très vite rendez-vous avec Christine Lagarde et Alain Juppé pour relayer cette attente.
Je souhaiterais, dès à présent, que vous puissiez recevoir les éleveurs et leurs représentants pour entendre leurs revendications.
Vous en remerciant par avance,
Je vous prie de croire, Monsieur le Préfet, à l'expression de mes sentiments bien sincères.
Gérard Trémège