Si nous avons bien écouté la Ministre de l’Ecologie, Ségolène Royal, lors de sa visite à Cauterets fin juillet 2014 lors d’un lâcher de bouquetin, elle n’a pas besoin de cette publicité pour connaître la situation et prendre la décision de ne faire aucun lâcher dans les Pyrénées, là où il y a une activité pastorale. Sage décision parfaitement cohérente avec la Convention de Berne et la Directive européenne «habitats» dont les associations environnementalistes ne semblent pas savoir lire tous les articles.
- Elles sont riches
Pour en arriver à se réserver une page de publicité dans ce quotidien national, ces associations ont de l’argent à jeter par la fenêtre puisqu’elles connaissent, comme tout le monde, la décision ministérielle qui est d’ailleurs contente depuis mai 2011. Mais peut-être est-ce grâce à des subventions c’est-à-dire de l’argent public appartenant aux contribuables?
Alors que dans les vallées on peine à conserver des écoles ouvertes, des services publics et maintenir un réseau de soin, ces associations continuent leur provocation dans des futilités largement rejetée par les populations qui subissent les méfaits des plantigrades. Chacun appréciera la démarche à une époque où les français sont sollicités de toutes parts pour renflouer les caisses de l’Etat. Lorsqu’il s’agit de grands carnivores et d’écologie, curieusement, il y a de l’argent. D’où vient-il?
Cette publicté n'est qu'une provocation de plus vis à vis des pyrénéens comme l'est la commémoration du 10ème anniversaire de cette mort alors que des centaines de brebis sont massacrées par les ours chaque année sans parler des loups dans l'Aude.
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