C’est un chasseur qui en a fait les frais alors qu’il avait légalement abattu un loup. Pour un écolo c’est un crime. Par contre, massacrer des moutons c’est normal. Drôle de valeurs….. Mais c’est leur idéologie qui est ainsi faite.
Pressions, menaces, intimidations ecologistes
Par contre, diffuser sur Facebook des données personnelles sans l’accord de l’intéressé, c’est autre chose. Le post a, depuis, était retiré mais le mal est fait. Et c’était bien l’objectif recherché et revendiqué. D’ailleurs cette association a renouvelé avec un jeune employé par l’ONCFS. Jusqu’où iront ces excès?
Alors que ces associations totalement bidons ont la prétention de développer le dialogue, elles ne font que développer la haine…. Leur haine de l’humain (idéologie de l’écologie profonde et radicale) et plus particulièrement de l’éleveur qui prend la place de la faune sauvage…. Depuis des millénaires.
Une chose est certaine, ce n’est pas par ces méthodes que se nouera un dialogue si toute fois un dialogue est envisageable entre des professionnels et des illuminés d’une autre planète.
Louis Dollo, le 20 février 2016
- Un chasseur harcelé sur Facebook par les pro-loups
Sur une photo montée, diffusée sur Facebook, en décembre 2015, "Alliance avec les Loups", a brandi la carte de la provocation. L’association Lozèrienne se dit "dédiée à la cohabitation du loup (et autres prédateurs) avec l’homme". L’association a posté délibérément le portrait d’un chasseur, âgé de 51 ans, qui a prélevé, dans le cadre d’un arrêté préfectoral, un loup sur la commune du Fugeret (Alpes de Haute-Provence), le 29 novembre dernier.
"Tueur de loup" titre l’association qui n’hésite pas à écrire le prénom et le nom du chasseur en question et d’indiquer son adresse. Sa tête "est mise à prix pour 100.000 croquettes", peut-on lire. "No more comment! Les loups s’en occupent…", légende l’association. "C’est une agression. Je n’ai pas l’impression d’avoir fait du mal au point d’être mis en pâture sur Facebook", témoigne le chasseur qui souhaite garder l’anonymat.
"Je reconnais que nous le jetons en pâture sur internet"
"J’ai des inquiétudes. Certaines menaces peuvent peser sur ma vie quotidienne", explique ce père de famille et d’ajouter, "je suis persuadé qu’en prélevant un loup j’ai participé à la régulation de l’espèce et non pas à sa disparition. Le débat ne doit pas se situer à mon niveau". "Nous voulons taper là où ça fait mal sans pour autant attaquer les arrêtés préfectoraux qui autorisent le tir du loup", justifie le président de l’association, Manoël Atman.
"Je reconnais que nous le jetons en pâture sur internet. Tuer du loup n’est pas innocent même légalement, surtout quand on s’en vante dans son voisinage", justifie-t-il ce que dément formellement l’intéressé. "Je ne me suis pas caché mais je ne m’en suis pas vanté", répond ce dernier.
"Nous ne faisons pas de procès mais nous parlons avec les anti-loup même si on les gêne. On accepte le dialogue", conclu Manoël Atman. La photo qui a été partagée une trentaine de fois a suscité plus de 160 commentaires "pro-loup" et "anti-loup" parfois très virulents. Une plainte a été déposée en gendarmerie, le 10 décembre, pour "divulgation illégale volontaire de données à caractère personnel nuisible".
Auteur: Jérémy Michaudet
Source: La Provence du 20 février 2016