Une position très claire et très tranchée qui contraste avec les positions plus timides de la FNSEA, la FNO et surtout les Jeunes Agriculteurs qui, jusqu’à maintenant n’ont pas fait le pas pour aider efficacement les éleveurs et bergers victimes des grands prédateurs.
«Pour moi, les choses sont claires: si le loup risque d'attaquer un troupeau, la meilleure façon de faire, c'est de prendre le fusil et de tirer. Ce qui se passe dans les Alpes est absolument intenable pour les éleveurs et si cette menace risque d'arriver ici dans les Cévennes, ça va être intenable encore. Donc je ne crois pas qu'au nom de la biodiversité on doive accepter»
Déclaration de José Bové du 17 juillet 2012