Sans être un spécialiste, il semble logique que les dommages aux troupeaux qui sont reconnus officiellement et indemnisés, constituent des indices de présence du loup. Dans le cas contraire, nous pourrions imaginer que l’ONCFS ou les agents du Parc National des Cévennes fassent de fausses déclarations. Ce qui est peu probable. Ou alors on indemnise sans le savoir les dégâts d’une bête inconnue… la bête du Gévaudan serait-elle administrativement revenue?
A la DDT de Lozère ou à l’ONCFS, la logique semble bousculée au regard des deux cartes ci-dessous. A gauche les indices et à droite les prédations. Curieusement, il apparait des indices là où il n’y a pas de prédations et inversement. Pourquoi? Une véritable énigme!
Comment se fait-il qu’en Aubrac, aux limites du Cantal, il y ait autant d’indices mais aucune prédation???
Pourquoi trouvons nous des indices au nord du Causse Méjean voire même sur le Causse de Sauveterre et aucun indice là où se situent les prédations?
Pourquoi n'avons-nous pas les statistiques de bêtes tuées par un animal non identifié et non indemnisées notamment dans les zones d'indice de présence?
Normalement et selon des responsables de l'ONCFS, la prédation sur animaux domestiques est le prmier indice de présence du loup avant tout indice génétique ou photographique (Cf. Episode 3 du "retour du loup")
Si quelqu’un peut expliquer……
Louis Dollo