Suspectés de délit d'expression, des journalistes et correspondants de presse sont montrés du doigt au motif "qu'ils savaient"... en fait rien du tout. Mais il faut un coupable coûte que coûte. Donc on dénonce tout et n'importe qui pour n'importe quoi, au besoin en lisant entre les lignes et en interprétant des mots, des phrases et même des titres. Dénonciations calomnieuses, méthode de l'amalgame propre aux dictatures et spécialistes du lavage de cerveau, les méthodes du terrorisme intellectuelè sont parfaitement réunies.
Pas grave! Lorsque l'on a la conscience tranquille dans un pays de droit, les odeurs des dénonciations en tout genre, des procès d'intentions des meilleurs régimes totalitaires et le satanisme nazifiantè ne présentent pas beaucoup d'intérêt.
Louis Dollo, le 15 mars 2008