Alors que les mouvements écologistes voudraient voir disparaître le pastoralisme des montagnes pour récréer des espaces sauvages comme au début de notreère, d’autres, et parfois les mêmes, recommandent des méthodes douces et naturelles en utilisant des bêtes d’élevage à la place de tondeuses et débroussailleuses. Le délire écologiste n’est pas une contradiction près et le ministère de l’écologie y participe activement.