Les chiens de protection font l’objet d’un véritable business. Les Pyrénéens ont exprimés une totale opposition à toutes les mesures préconisées et au Plan Ours dès le départ. De ce fait, le commerce à travers l’ACP ne s’est pas vraiment développé. Par contre, les syndicats alpins ont entrainés les éleveurs notamment des Alpes du Sud vers des systèmes particulièrement pervers, avec l’appui de l’Institut de l’élevage et de la Pastorale Pyrénéenne qui ont failli aboutir en janvier 2014. Aujourd’hui tout est remis mais des éleveurs commerçant et des structures informelles existent toujours. Nous tentons, ici, d’y voir clair et, en même temps, de dénoncer les abus.