Les associations environnementalistes sont trés rarement sur le terrain pour participer concrétement à la protection de l'environnement, des milieux et habitats naturels, au développement durable des territoires. Leur spécialité reste les cabinets d'avocats et les couloirs de tribunaux avec, pour certaines d'entre elles, de l'argent public. Comme elles l'avaient annoncé dans un communiqué du 5 septembre 2014, ces associations ont déposé un recours auprès du Conseil d'Etat dont nous suivrons l'évolution.
Selon le site Web de Férus: "Le référé déposé en Conseil d’Etat par nos associations (FERUS, ASPAS, FNE, LPO et One Voice) a été rejeté dans une ordonnance du 30 septembre". Et il est précisé: "C’est la forme qui est rejetée et non le fond, qui lui sera jugé dans plus ou moins 6 mois…"
Précisons quand même que certaines affaires mettent plusieurs années avant d'être jugées au fond. Parions que dans ce cas, les arrêtés attaqués ne seront plus d'actualité et auront été remplacés par d'autres. Pourquoi? Tout simplement parce que les prédations augmentent de manière considérable et inacceptable pour les populations concernées et qu'il faudra prendre d'autres mesures plus restrictives à la présence des loups dans le milieu pastoral.
Manifestement, les associations dites "de protection de la nature", ASPAS, Ferus, FNE, LPO et One Voice, sont à côté de la réalité du terrain.