Comme toujours, par manque d'arguments, les militants de mouvements dits "écologistes" mènent leur lobbying de réintroduction d'ours à partir d'affirmations inexactes, puis de slogans totalement ridicules et finissent par s'attaquer aux personnes pour les faire taire et faciliter leurs basses œuvres dont la destruction du pastoralisme afin d'ensauvager les territoires. C'est, à terme, la politique de "rewilding" imaginée depuis longtemps.
Selon une certaine presse peu ou pas informée qui s'en fait le relais, le Val d'Azun, dans les Hautes-Pyrénées, vient de faire les frais de cette manipulation peu honorable. Nous dirons même "une manipulation de plus depuis un an". Il faut dire que Férus et autres association dites de "protection de la nature" ne sont pas à une accusation prête lorsque l'association est à bout de souffle pour dire quelque chose de cohérent.
Accuser une personne d'avoir tué un ours au Pays Toy alors que le plantigrade se promène sur la route de Luz-Ardiden fait partie de leur fait d'arme. A cet égard, une plainte a été déposée contre Férus pour "dénonciation calomnieuse". Doit-on encombrer les tribunaux de toutes ces âneries? Faut-il également rappeler que des sympathisants de la cause de l'ours ont en leur temps déposé des pots de miel avec du verre pilé dans les Hautes-Pyrénées en 2006 (Vallée de Lesponne) et plus récemment en Ariège (Biros) selon la même procédure. L'auteur est connu mais sans aveux ni preuves matérielles.... Rien ne se fait. C'est une méthode bien connue pour discréditer un groupe de personnes comme les éleveurs et les chasseurs. Et la liste est longue en histoire de ce type. De récents faits en Ariège ou sur Facebook y participent. L'objectif étant de faire taire tous ceux qui ne partagent pas leurs idées.
En Val d'Azun, la comédie est d'autant plus grossière que l'information ne vient que d'un groupe d'associations partageant la même idéologie, manifestement mené par Férus, et d'un supposé randonneur ou groupe de randonneurs, sur lesquels il serait intéressant de s'informer, qui aurait jeté le produit dont nous ne savons rien selon Férus eux-mêmes et qui selon d'autres sources serait en cours d'analyse. Beaucoup d'interrogations et et sans doute de bruit pour rien car si tout ce petit monde était le même et n'avait rien à voir avec les éleveurs ou les chasseurs..... mais tout simplement pour faire la promotion d'une opération "Vigie" qui semble tout aussi en panne que les finances de FNE Midi-Pyrénées qui cherche de l'argent pour faire interdire la chasse au Grand Tétras.
Ne serait-ce pas une réponse à l'ANEM?
La comédie écologiste, qui semble bien rodée sur le même modèle, se renouvelle au lendemain de la prise de position de l'Association Nationale des Elus de la Montagne (ANEM). Ce n'est pas vraiment un hasard de la part d'une structure plus orientée sur le lobbying et les actions judiciaires que sur la protection de l'environnement, le développement durable ou le bien-être animal dans les estives. Cette écologie extrémiste est d'un autre temps. En montagne, les véritables défenseurs de l'environnement sont les paysans et uniquement eux.... Et c'est légalement reconnu mais trés mal connu.
Pour une bonne compréhension du lecteur, ci-dessous l'article mis en cause étonnamment similaire au communiqué de presse de Férus sans chercher beaucoup d'explications sérieuses sur le terrain. Tout laisse à penser qu'il s'agit bien ici d'une manipulation pour tenter de préparer les esprits à une hypothétique introduction ou translation d'ours depuis l’Ariège par l'ONCFS et quelques autres complicités bienveillantes sans aucun respect de la convention de Berne, de l'article 22 de la Directive Habitat, de l'article L113-1 du Code Rural et du bien-être animal dans les estives.
Après 25 ans de mensonges
Une nouvelle affaire peu glorieuse qui devrait faire réfléchir ceux qui croient encore à 25 ans de mensonges sans jamais étudier le dossier et son histoire. Les Archive Nationales sont, à cet égard, bien pourvues en documentation. Cela évite de parler des vrais problèmes tels que le rôle et le développement du pastoralisme dans l'écologie et le développement durable des vallées. Et pourtant il faudra en parler et dépasser la problématique du loup et de l'ours voir du vautour fauve comme le suggère Henri Neyrou, Président du Conseil Départemental de l'Ariège en annonçant la tenue des "Etats Généraux du Pastoralisme à l'échelle pyrénéenne" le 9 décembre prochain à Foix.
Bien connue en Béarn, nous la protégeons des agressions toujours possibles du milieu écologiste extrémiste en l’appelant Madeleine.
Jeune fille, Madeleine a connu la chasse à l’ours et l’époque où les bergers pouvaient se défendre contre un plantigrade qui venait ennuyer les brebis. C’est la seule chose qui a changé avec les écologistes: le berger ne peut plus se défendre. Il doit laisser faire. Le reste n’est que palabres pour justifier injustifiables. On peut la voir en, photo dans de nombreux ouvrage assise sur la bête velue avec laquelle il n’a jamais existé de cohabitation ou coexistence, invention purement intellectuelle de la part de ceux qui n’ont jamais vu l’ours.
Je trouve absolument remarquable la faculté de trouver à plusieurs reprises et des années de distance absolument significatives aussi cette faculté de tomber sur des pots anti ours au milieu des milliers d’hectares de la forêt pyrénéenne.
Ou alors la vigie-gestapo a des milliers de taupes en service.
Je crois que c’est une provocation.
A laquelle il ne faudrait pas donner réponse "haineuse» ou violente.
C’est ce que la Vigie-Gestapo voudrait.
Sans réactions "inappropriées" des éleveurs elle tourne à vide et pédale dans la semoule.
Perd de sa "légitimité». Elle s’ennuie elle cherche le coup de poing.
Peut-être la Vigie-Gestapo veut le monter ou renouveler un dossier de subvention.
Pour cela il faut faire preuve de son efficacité.
Il serait intéressant de savoir si cette Vigie a une existence légale.
Peut-être veulent-ils tester notre capacité de réaction
Plus simplement, entretenir l’opinion publique dans le mépris vis à vis des bergers c’est leur fonds de commerce.
Un écolo a été retrouvé attaché la nouille à l'air avec du miel dessus, ce serait selon nos informations un gage de paix envers les plantigrades, qui ainsi pourraient cohabiter intimement avec les amoureux de la nature. Reste toutefois à déterminer s'il s'agit d'un canular ou d'une action concertée, la concertation n'étant pas le fort des écolos locaux. L'enquête a été confiée au parquet, bien que ce dernier ait été ciré à la cire d'abeille à force de voir passer des glands mielleux...
Des pots portant l’inscription «Poison ours» ont été découverts en montagne, dans une zone à ours du Val d’Azun, dans les Hautes-Pyrénées, signale ce lundi «Férus», l’association nationale de protection et de conservation de l'ours, du loup et lynx en France.
Depuis que dans une vidéo remise le 15 septembre dernier à plusieurs médias, dont «La Dépêche du Midi», un commando armé a décrété depuis l’Ariège la réouverture de la chasse à l’ours, l’association Férus a déclenché l’opération «Vigie ours» et invité les utilisateurs de la montagne à signaler toute trace éventuelle d’une action de braconnage. C’est dans ce cadre que voilà une semaine environ, un premier appât suspect a été repéré par un randonneur. «Il s’agissait d’un pot suspendu à une branche d’arbre, à hauteur d’homme, dans lequel se trouvait une substance semblable à du miel», indique Sabine Matraire, vice-présidente de Férus. «Croyant bien faire, ce randonneur qui a informé notre association et la gendarmerie, a décroché l’appât et l’a jeté. C’est dommage car faute d’analyse, nous ignorons s’il s’agit d’un canular ou d’une véritable tentative d’empoisonnement de l’ours», regrette Sabine Matraire.
Après ce premier signalement, d’autres pots suspects ont été découverts. «Tous ne portaient pas la mention Poison ours», indique la représentante de Férus en annonçant qu’une plainte pour «tentative de destruction d’une espèce protégée» sera déposée cette semaine «car nous ignorons à ce jour si une enquête a été ouverte. Nous rappelons que la destruction et la tentative de destruction d’une espèce protégée sont des délits punis par l’article L 415-3 du code de l’Environnement, sanctionnés d’une peine de 2 ans de prison et/ou de 150.000 euros d’amende. En cas de destruction ou de tentative de destruction «en bande organisée», la sanction peut aller jusqu’à 7 ans d’emprisonnement et 750.000 € d’amende», avertit enfin Sabine Matraire.
Auteur: Lionel Laparade
Source: La Dépêche du Midi du 23 octobre 2017
Les amis de l’ours appellent les randonneurs à signaler tout indice suspect pouvant nuire aux plantigrades.
Quelqu’un veut-il vraiment du mal aux ours des Pyrénées ou de mauvais plaisantins cherchent-ils à entretenir une polémique déjà féroce? Des pots remplis d’une substance ressemblant à du miel et portant la mention «poison ours» ont été découverts dans le Val d’Azun, au cœur des Hautes-Pyrénées.
Des pots «poison ours» ont été trouvés en montagne dans les Hautes-Pyrénées... Nous réitérons notre appel à la... citoyenne
FERUS (@OursLoupLynx) 23 octobre 2017
«Le premier signalement nous a été fait par un randonneur le 16 octobre, indique Sabine Matraire, la vice-présidente de Ferus, l’association nationale pour la conservation de l’ours, du loup et du lynx en France. D’autres pots, avec inscriptions ou pas, ont été retrouvés pendus dans les arbres, à hauteur d’homme, par des promeneurs». L’association a prévenu les agents spécialisés de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS). Le contenu des pots de «miel» est en cours d’analysés.
Opération «Vigie ours»
Mais Ferus et les autres défenseurs de l’ours ne veulent pas attendre les résultats pour agir. Ils prennent les devants en appelant les montagnards et autres usagers des Pyrénées
à faire remonter tout signe suspect (cadavres inexpliqués, pot avec un contenu suspect, agitation suspecte dans un secteur) à l’adresse vigie@ferus.org ou au 06.46.62.19.47.
Cette vigilance citoyenne se réactive alors que le climat est particulièrement tendu dans les Pyrénées. Mi-septembre, une vidéo où des hommes cagoulés appellent à «l’ouverture de la chasse à l’ours» a été diffusée. Par ailleurs, ce ne serait pas la première fois que des opposants tenteraient de nuire directement aux plantigrades: en 2006, en pleine campagne de réintroduction, des pots de miel mélangé à du verre pilé avaient été retrouvés.
Ferus profite de son appel pour rappeler que la destruction ou tentative de destruction d’une espèce protégée est un délit puni par le code de l’Environnement de deux ans de prison et 150.000 euros d’amende. Alors, bas les pattes.
Auteur: Helene Menal
Source:
20minutes.fr du 23 octobre 2017