Férus est de moins en moins un acteur sérieux et crédible de la protection de l’environnement si toutefois il l’a été un jour. Créée en partie (ARTUS) sur des bases strictement marketing qui n’ont rien à voir avec la nature, la protection de l’environnement et les grands prédateurs, ours, loups, lynx, les voilà qui quittent peu à peu le navire de la cohabitation avec les fonctionnaires de tous services.
Ne plus participer à un certain nombre de réunion du Groupe National Loup, ce qui équivaut à refuser le dialogue si toute fois il existe dans cette sorte de grande kermesse, après avoir critiqué les pyrénéens de ne pas participer au Groupe National Ours qui n’existe plus, et maintenant boycotter la communication et même détruire les indices de présence du loup.
Manifestement cette organisation mérite bien ses adjectifs d’extrémiste et de sectaire. Elle veut dialoguer et participer mais à SES conditions et en se moquant de l’avis des autres. N’est-ce pas là l’expression d’une certaine idéologie de l’écologie profonde qui a vu le jour à travers un parti politique nauséabond des années 1930 en Europe dont se sont, semble-t-il inspirés les premiers créateurs du WWF? Nous pouvons nous interroger.