Comme dans d’autres départements comme le Var et les Vosges, l’ONCFS et autres administrations observent une totale omerta tout en faisant agir les lobbys des associations écologistes subventionnées par l’Etat. L’objectif est de «préparer» la population à l’arrivée du loup. Une sorte de manipulation et bourrage de crâne pour imposer une idéologie du tout sauvage mis en place par l’UICN et le WWF. L’Auvergne n’a pas été exclue de cette pratique permettant d’imposer le loup là où il n’est que très rarement le bienvenu.
Le loup a été observé et filmé, en janvier, dans le Sancy. En 2004, un dossier de «La Montagne» annonçait que les spécialistes prédisaient le retour de l’animal en Auvergne «d’ici dix ans».
«On ne s’attendait pas à tomber sur lui. Lui non plus!» C’était le 26 janvier dernier. A deux reprises, un loup coupe la route à deux amis qui se baladent en voiture, au col de la Croix Saint-Robert, en plein massif du Sancy.
Les services spécialisés de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), basés à Grenoble, expertisent la vidéo tournée au moyen d’un téléphone portable. Le résultat est formel: le canidé observé est bien un loup. Depuis, sa présence n’a plus été détectée.
Le loup en Auvergne? Une présence inattendue? Coup d’œil dans le rétroviseur. A l’automne 2004, La Montagne titrait: «Un retour à pas de loup». Un dossier annonçait alors que, selon les spécialistes, «d’ici dix ans» l’animal aurait signé un retour sur «ses terres ancestrales auvergnates». Extraits.
«Il a disparu du paysage auvergnat au début du XXe siècle. Chassé par son plus grand ennemi et son seul prédateur: l’homme. Les spécialistes prédisent son retour dans cinq ou dix ans en Auvergne. Naturellement. Le loup, qui des Abruzzes italiennes a colonisé les Alpes françaises en 1992, qui aurait mis une patte dans les Pyrénées-Orientales et a déjà fait deux incursions en territoire auvergnat, avance à pas comptés», écrivait Patricia Cerinsek, le 26 octobre 2004.
Cette année-là, des indices de la présence du canidé avaient alors été recensés «en 1994 dans les Vosges, en 1996 dans le Larzac, en 1997 et 1999 dans le Cantal et en 1999 et 2001 dans les Pyrénées-Orientales». Le loup, précisait le dossier de La Montagne, «progresse par tache. Au rythme de 150 km tous les cinq ans. Son retour en Auvergne ne fait donc aucun doute». Et d’expliquer: «Il est venu naturellement dans le Mercantour, près de la frontière italienne. Il reviendra naturellement dans le Puy-de-Dôme, le Cantal, la Haute-Loire. Pourquoi? Parce qu’il y trouvera des grandes forêts et un bon garde-manger […]».
L'intégralité de l'article à lire ce lundi dans La Montagne
Les différentes apparitions du loup en Auvergne depuis 1997: .... sur la version papier de La Montagne
Source: La Montagne du 26 août 2013